Et toute cette beauté, la sérénité du lieu, la présence ce jour là de Youlin mais surtout la confondante légèreté de la pâtisserie faible en sucre qui recèle en son cœur des trésors qu'on préfère taire afin d'en conserver le mystère font logiquement de Ciel un des lieux les plus attachant de la capitale. L'histoire de cette pâtisserie proche des sponge cakeet du chiffon cakeanglo-saxon remonte aux temps peu glorieux de l'occupation américaine. Depuis, l'intérêt pour ce gâteau spongieux et aérien, au cœur fondant et crémeux et à la génoise garnie d'une chantilly parfumée n'a jamais faibli. Un lieu épuré lui est même consacré. C'est la Pâtisserie Ciel, surgi de l'imaginaire de Youlin, jeune homme moderne auquel on doit Sola et le Saké Bar, une référence en matière de whisky japonais et de sake, qu'on retrouve par ailleurs sur la carte au milieu des jus de fruits Alain Milliat et des thés Jugetsudo, histoire d'être bien entouré.
Elle et moi lors d'une de nos nombreuses sorties gastronomiques en quête d'inspiration |
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